Né à Madagascar et formé à l’architecture en France, il organise sa vie et sa production autour de trois ateliers, un à Tananarive, un autre à Paris, qu’il appelle celui du transit, et celui de Magnat-l’Etrange dans la Creuse où il peut travailler sur l’espace et l’installation de ses pièces et ses expositions dorénavant si nombreuses.
Artisan d’une carrière organisée, millimétrée, connectée, maîtrisant son langage tout autant que sa logistique, Joël ne laisse rien au hasard, ni même son sourire qu’il offre généreusement… De Dakar à New York en passant par Delhi, un artiste moderne et déterminé, représenté par plusieurs galeries à Paris, Madrid et Milan.
L’année 2017 sera pour l’artiste sentimentale et globale ; avec l’ouverture de son solo aux Abattoirs de Toulouse Joël mettra en place une performance, avec la vente de sa gamme de produits-objets sentimentaux, ainsi qu’une fête sentimentale bien sûr. A suivre donc…
Jusqu'au 10 mars l'artiste est exposé à Milan par la galerie Primo Marella. Joël Andrianomearisoa sera par ailleurs à « Afriques capitales », group show organisé sous le commissariat de Simon Njami dans le cadre du festival «100% Afriques », à La Vilette du 28 mars au 21 mai.
Atelier parisien — photo Joël Andrianomearisoa
Atelier parisien — photo Anne Maniglier
Atelier parisien — photos Anne Maniglier
Atelier à Magnat-l’Etrange (Creuse) — photo Joël Andrianomearisoa
Atelier parisien — photo Anne Maniglier
Atelier parisien — photo Anne Maniglier
Atelier parisien — photo Joël Andrianomearisoa
Atelier à Tananarive — photo Joël Andrianomearisoa
Cet article fait partie de la série « One Artist / One Studio ».